-C'est un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien.
-Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons rose, Par n'importe quel autre nom sentirait aussi bon.
-Tant pis si les fous ne peuvent parler sensément des folies que font les hommes sensés.
-Nous sommes tissés de l'étoffe dont sont fait nos rêves
-Le mal que font les hommes vit après eux ; le bien est souvent enseveli avec leurs cendres.
-Seigneur, nous savons ce que nous sommes, mais nous ne savons pas ce que nous pouvons être.
-Prête l'oreille à tous, mais tes paroles au petit nombre
-...les paroles sonnent bien, quand celui qui les dit plaît à qui les écoute.
-On peut faire beaucoup avec la haine, mais encore plus avec l'amour
-La verdeur première de nos résolutions s'étiole à l'ombre pâle de la pensée.
-Pour tromper le monde, ressemblez au monde.
-Quand nous naissons, nous pleurons d'être venus sur cette grande scène de fous.
-Nos doutes sont des traîtres et nous font souvent perdre le bien que nous pourrions gagner parce qu'ils nous font craindre de le tenter.
-Lorsque l'esprit est libre, le corps est délicat.
-En m'écoutant parler, si vous avez un oeil fixé sur mes folies, arrêtez l'autre sur le registre des vôtres.
-La poésie la plus vraie est celle où il y a le plus d'invention.
-Aux maux désespérés, il faut des remèdes désespérés, ou il n'en faut pas du tout.
-La musique est l'aliment de l'amour.
-C'est là de ces artifices qui corrigent la nature, qui la changent plutôt, mais l'artifice lui-même fait partie de la nature.
-Oh ! apprends-moi comment oublier de penser.
-La pensée est l'esclave de la vie, et la vie est la marotte du Temps.
-Telle est l'excellente folie du monde que si nous nous trouvons en male fortune- souvent par le fait de nos propres abus- nous faisons coupables de nos désastres le soleil, la lune et les étoiles.
-La Nature envie, pour créer, l'étoffe inépuisable du rêve.
-La jeunesse trouve la révolte en elle-même, quand elle ne la trouve pas près d'elle.
-Tout est néant. La résignation est stupide et la révolte, pareille à l'aboiement d'un chien fou.
-Le temps n'a pas la même allure pour tout le monde.
-La vie terrestre la plus morne et la plus pénible (...) est un paradis auprès de notre peur de la mort.
-L'amour est une fumée faite de la vapeur des soupirs.
-La colère est pareille à un cheval fougueux ; si on lui lâche la bride, son trop d'ardeur l'a bientôt épuisé.
-Le diable peut citer l'Ecriture pour ses besoins.
-Le fou se croit sage et le sage reconnaît lui-même n'être qu'un fou.
-Ce qui commence dans le mal s'affermit par le mal.
-Gémir sur un malheur passé, c'est le plus sûr moyen d'en attirer un autre.
-Le monde entier est un théâtre, Et tous, hommes et femmes, n'en sont que les acteurs. Chacun y joue successivement les différents rôles D'un drame en sept âges.
-Savez-vous pas que je suis femme ? Quand je pense, il faut que je parle.
-Il ne suffit pas de parler, il faut parler juste.
-Rien n'est en soi bon ni mauvais ; tout dépend de ce qu'on en pense.
-Il n'est pas de vice si simple qui n'affiche des dehors de vertu.
-La vie est une ombre qui marche, un pauvre acteur qui se pavane et se trémousse une heure en scène, puis que l'on cesse d'entendre.
-Affectez du moins l'apparence de la vertu.
-La vie est un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien.
-L'amour ne voit pas avec les yeux, mais avec l'âme.
-Les larmes prouvent leur amour, elles n'apportent pas leur remède.
-Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons rose, Par n'importe quel autre nom sentirait aussi bon.
-Tant pis si les fous ne peuvent parler sensément des folies que font les hommes sensés.
-Nous sommes tissés de l'étoffe dont sont fait nos rêves
-Le mal que font les hommes vit après eux ; le bien est souvent enseveli avec leurs cendres.
-Seigneur, nous savons ce que nous sommes, mais nous ne savons pas ce que nous pouvons être.
-Prête l'oreille à tous, mais tes paroles au petit nombre
-...les paroles sonnent bien, quand celui qui les dit plaît à qui les écoute.
-On peut faire beaucoup avec la haine, mais encore plus avec l'amour
-La verdeur première de nos résolutions s'étiole à l'ombre pâle de la pensée.
-Pour tromper le monde, ressemblez au monde.
-Quand nous naissons, nous pleurons d'être venus sur cette grande scène de fous.
-Nos doutes sont des traîtres et nous font souvent perdre le bien que nous pourrions gagner parce qu'ils nous font craindre de le tenter.
-Lorsque l'esprit est libre, le corps est délicat.
-En m'écoutant parler, si vous avez un oeil fixé sur mes folies, arrêtez l'autre sur le registre des vôtres.
-La poésie la plus vraie est celle où il y a le plus d'invention.
-Aux maux désespérés, il faut des remèdes désespérés, ou il n'en faut pas du tout.
-La musique est l'aliment de l'amour.
-C'est là de ces artifices qui corrigent la nature, qui la changent plutôt, mais l'artifice lui-même fait partie de la nature.
-Oh ! apprends-moi comment oublier de penser.
-La pensée est l'esclave de la vie, et la vie est la marotte du Temps.
-Telle est l'excellente folie du monde que si nous nous trouvons en male fortune- souvent par le fait de nos propres abus- nous faisons coupables de nos désastres le soleil, la lune et les étoiles.
-La Nature envie, pour créer, l'étoffe inépuisable du rêve.
-La jeunesse trouve la révolte en elle-même, quand elle ne la trouve pas près d'elle.
-Tout est néant. La résignation est stupide et la révolte, pareille à l'aboiement d'un chien fou.
-Le temps n'a pas la même allure pour tout le monde.
-La vie terrestre la plus morne et la plus pénible (...) est un paradis auprès de notre peur de la mort.
-L'amour est une fumée faite de la vapeur des soupirs.
-La colère est pareille à un cheval fougueux ; si on lui lâche la bride, son trop d'ardeur l'a bientôt épuisé.
-Le diable peut citer l'Ecriture pour ses besoins.
-Le fou se croit sage et le sage reconnaît lui-même n'être qu'un fou.
-Ce qui commence dans le mal s'affermit par le mal.
-Gémir sur un malheur passé, c'est le plus sûr moyen d'en attirer un autre.
-Le monde entier est un théâtre, Et tous, hommes et femmes, n'en sont que les acteurs. Chacun y joue successivement les différents rôles D'un drame en sept âges.
-Savez-vous pas que je suis femme ? Quand je pense, il faut que je parle.
-Il ne suffit pas de parler, il faut parler juste.
-Rien n'est en soi bon ni mauvais ; tout dépend de ce qu'on en pense.
-Il n'est pas de vice si simple qui n'affiche des dehors de vertu.
-La vie est une ombre qui marche, un pauvre acteur qui se pavane et se trémousse une heure en scène, puis que l'on cesse d'entendre.
-Affectez du moins l'apparence de la vertu.
-La vie est un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien.
-L'amour ne voit pas avec les yeux, mais avec l'âme.
-Les larmes prouvent leur amour, elles n'apportent pas leur remède.
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